Les ailes brûlées, clouées au sol et,
La tête vers le ciel vers la splendeur de l'éternel ailleurs,
Cherchant l'étoile qui fais tournée la roue
Loin de ces quadrillages, ou même l'air ne peut être libre comme l'art...
Comme la pureté d'un geste, la profondeur d'une pensé illimité quand l'opinion est HS
Sans mâcher mes mots voir largesse, bargesse,
La frontière est si fine entre folie et sagesse...
Réflexion pesante, j'ai milles mots infinie en quête de l'archétype,
Mais mon âme est souffrante...
Mémoire passé, qui voudrait voir mon espoir cassé ?
Où est la berche, ou est la perche ? Maintenant j'en ai assez !
J'me noie !
J'ai perdu ma barque quand j'ai vu que celui qui la conduisais n'était autre que mon ennemi
Mais comme quand la nuit tombe, l'océan et le ciel ne forme qu'un,
Alors J'ai pu voir l'espace infini...
Oh liberté, ma chère amie, ta présence est abstraite,
Vu que c'est dans ma tête que j'ai appris à te connaitre...
Oh liberté... Imbibe mon encre et ne quitte plus mes pensées...
Plus d'oxygène dans un monde limité,
Ou la vérité se cache en nous,
Clairvoyance, intuition mais avons nous idée de ce qui se cache en nous ?
Nan, c'est rires contre larmes, l'égos contre l'âme,
Et à plus haute échelle, je dirais l'illuminatique contre l'homme...
Epoque cruelle des nués de sang ,
Dur de voir clair derrière les mascarades et les buées de sang !
Je me sent perdue comme au coeur d'une immense machine,
Qui n'en a jamais eu et qui nous dénature....
Mauvais pressentiment quand je pense au futur,
Les yeux ouvert, l'horreur tente de me les crever mais le plus dur
Reste à venir le jour ou se sera trop tard,
Où la surveillance sera absolue et nos prénoms seront des codes barres !
Tout va de plus en plus vite car pour eux le temps c'est de l'argent,
Alors on oublie de vivre et c'est navrant...
En nous s'crée un vide que rien n'comblera car l'ombre s'est emparée d'notre monde,
Mais on croit tout ce qu'on voit ou ce qu'on veut bien nous laisser voir
Donc ouais on est aveugle
Ca m'fait mal au coeur mais regarde même nos âmes beug
Au fond d'nous c'est tourmenter car dehors c'est tourment
Soumis a notre sort mais on oubli qu'la vie est mouvement
Que la forçe issue d'un idéal ou d'une vonlonter trançante
Où les schéma établi qu'les barrière sont dans nos crânes
Qu'on est seul a pouvoir les virées s'libérer en laissant notre coeur s'émouvoir
Trop porté sur l'extérieur et a force de vouloir être comme tout l'monde
Peu sont quelqu'un en fin de compte on devient s'qu'on nous montre
Au lieu d'être s'qu'on est pourtant s'mode de vie fait mal mais on s'laisse cogner
On subit, on monde qui nous dépasse et qui nous repli sur nous même
En nous laissant des trace alors j'ferme les yeux
Pour ressentir la lueur pouvoir faire le vide en moi
Afin d'être reseptive au bohneur
Car changer l'monde commence par se changer sois-même
Changer l'monde commence par se changer sois-même
Changer l'monde commence par se changer sois-même
Car changer l'monde commence par se changer sois-même
Changer l'monde commence par se changer sois-même
Changer l'monde commence par se changer sois-même
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