J'en suis à la premiere ecoute de l'album, mais cérieu, Victoria c'est un des morceaux que je préfére... dc voici les lyrics que je viens de tapper, puisquelles ne sont pas ds le livret! ya ptetre des ptites fotes, desolé, corrigez les
![Wink](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_wink.gif)
j'me suis permi de mettre la traduction en francais, et d'expliquer aussi certains faits en rappor avec l'histoire d'Argentine
VICTORIAMoi c’est victoria
Née il y a 14 printemps
Dans un village près de Salta (
une ville ds le nord de l'argentine)
Dans lequel je vivais avant
Cela fait maintenant,
Plus de 10 ans,
Qu’avec papa et maman
Mes frères et mes sœurs
On a quitté nos champs.
On est venu s’entasser dans une de ces cabanes, à l’entrée de la ville
(
tout autour de Buenos Aires, la capitale, ya des bidons villes faits de tuiles, cartons, bois... dc des ke tu veut rentrer ds la ville, t'es casi aubligé de passer par la)
C’est papa qui l’a construite, mais elle n’est pas finie
Je n’ai que des vagues souvenirs du village
Maman pleur quand elle m’en parle car elle n’aime pas la vie ici
Des étrangers ont brûlés nos maisons pur nous voler nos terres
Papa s’énerve moi je comprend pas, il parle d’agro-alimentaire
Il dit que les politiciens sont des prédateurs qui sèment la peur
Et qu’ils ont un estomac à la place du cœur
Ici pas de travail, aucune prière ne s’exhausse (
l'amerique du sud est tres catholique)
Après les cours avec ma sœur on va vendre des bracelets de pesos
Et malgré tous ces efforts, demeurent ces jours sans repas
La nuit maman pleur, la nuit maman ne dort pas
No llores hija mia (
ne pleure pas, ma fille)
Yo, no perdì las esperansas (
moi, je n'ai pas perdu l'espoir)
Des los bandidos dictadores (
des bandits dictateurs)
Jamàs podràn destruir la lucha de los peublos (
jamais ils ne pouront detruire la lute des peuples)
que no pueden olvidar a sus desaparecidos.(
qui ne peuvent pas oublier leurs disparus)
Mon voisin m’a dit pendant la dictature c’était plus dur
Alors j’vais pas me plaindre même si ici ya pas de futur
Moi j’aime bien les études , on m’a dit c’est bien mais inutile
Ici beaucoup ont arétés avant même de savoir écrire
Dans mon jardin secret, jcultive le rêve d’être médecin,
Soigner tout ces enfants malades, qui ne mangent pas à leur faim.
J’comprend pas dans la ville jvoi bien tout ces petits faire la manche,
Devant le méprit de ceux qu’on appelle les gens bien.
J’m’interroge, ne voient-ils pas la misère ?
Il nous écrasent pour bénir l’homme venu de l’autre emisphère.
Papa dit qu’on est traités comme des chiens
Dieu merci j’ai ma famille, plus loin ya des orphelins qui vivent dans les décharges. (
ya enorméments d'orphelins en argentine... c vraiment triste a voir jvous assure! ils vivent ds la rue en bas de chez vous...)
Des fois je pleure en cachette,
mais pas longtemps car j’pense à mes aînées qui ont connu le chant des mitraillettes.
Et puis grand-mère disait toujours, la vie c’est l’espoir, si t’en a vu, t’est comme moi,
Le vivre révèle de l’exploit
No llores hija mia (
ne pleure pas, ma fille)
Yo, no perdì las esperansas (
moi, je n'ai pas perdu l'espoir)
Des los bandidos dictadores (
des bandits dictateurs)
Jamàs podràn destruir la lucha de los peublos (
jamais ils ne pouront detruire la lute des peuples)
que no pueden olvidar a sus desaparecidos.(
qui ne peuvent pas oublier leurs disparus)
Papa est affolé il a frôlé la folie
Quand un matin il a appris
Que la banque lui avait volé ses économies
Impuissant, tout le monde était affolé
Il était pas le seul, c’est la nation entière qui s’était fait voler.
(
enfet ya u un "coup detat" ya quelques années, et letat en gros avait pris tt largent quil y avé ds les comptes en banque de la population, et il y avé tré peu d'argent en liquide qui circulait... sa s'apelle en Argentine "el Coralito")
Depuis ce jours, avec beaucoup de gens de la ville
Ils bloquent les routes, pour bloquer l’économie du pays
C’est leurs façon de ce faire entendre
Mais moi j’ai peur quand il s’en va, la police est violente,
Ils les appellent Piqueteros (
c un peut comme des grevistes qui detruisent les rues pr paraliser leconomie)
Et les journaux sont des menteurs
Ils disent que c’est des bandits après il y a des gens qui ont peur
Papa dit, ils peuvent tuer des hommes, mais ils ne tueront pas la mémoire
Les mères des disparus chantent toujours contre l’oubli
(
ya enorméments de disparus labas, ya meme des emissions de téléréalité sur les enlevements...)
On vit le fruit d’une démocratie raté,
Dans un pays si riche tant d’enfants on dans le ventre qu’une tasse de Mate. (
le Mate c une boisson typique d'argentine que tt le monde boit tt le temps labas... c booon ![Very Happy](https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_biggrin.png)
)
Parsqu’on est dirigés par la mafia du crime,
Moi j’comprend pas et quand j’demande pourquoi
on m’repond toujours « parce qu’on est en Argentine »
La pobresa no es del sur, no ! (
la pauvreté n'est pas du sud, non!)
Si, se vive con dignidad. (
oui, on vi avec de la dignité)
Y que de los cartoneros (
et que les "Cartoneros" -
en argentine c le nom doné aux povres qui collectent les cartons dans les poubelles et les echangent pour les recicler contre un peu d'argent-)
Una lucha de los pueblos (
la lutte des peuples)
En memoria del merco que … (
en mémoir du .... -
dsl je bloque la, il a trop l'accent mdr!)
Entonces està la victoria (x3) (
alors c'est la victoire)
Heeee...